Beteiligte: | |
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In: | Cinémas, 13, 2004, 1-2, S. 129-141 |
veröffentlicht: |
Consortium Erudit
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Medientyp: | Artikel, E-Artikel |
Umfang: | 129-141 |
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ISSN: |
1705-6500
1181-6945 |
DOI: | 10.7202/007959ar |
veröffentlicht in: | Cinémas |
Sprache: | Unbestimmt |
Schlagwörter: | |
Kollektion: | Consortium Erudit (CrossRef) |
<jats:p>Les films que Rossellini a tournés dans les années 1950 avec Ingrid Bergman existent tous en plusieurs versions. Il existe notamment trois versions de <jats:italic>Stromboli</jats:italic>, dont l’une qui fut montée aux États-Unis par la RKO. L’étude des différences entre la version américaine et les deux autres versions nous en dit beaucoup sur l’approche du montage propre à Rossellini, ainsi que sur l’approche du montage propre à Hollywood, affectée par ce que l’on propose ici d’appeler le « syndrome de Griffith » et fondée sur une prédilection envers le morcellement de l’espace et le recours au montage alterné. On verra ici que le montage de la RKO conduit le film de Rossellini à une dimension mélodramatique totalement étrangère à la sensibilité du réalisateur italien.</jats:p> |