Beteiligte: | |
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In: | Cinémas, 10, 2007, 2-3, S. 65-84 |
veröffentlicht: |
Consortium Erudit
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Medientyp: | Artikel, E-Artikel |
Umfang: | 65-84 |
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ISSN: |
1705-6500
1181-6945 |
DOI: | 10.7202/024816ar |
veröffentlicht in: | Cinémas |
Sprache: | Unbestimmt |
Schlagwörter: | |
Kollektion: | Consortium Erudit (CrossRef) |
<jats:p>Dès qu'elle se voit à l'intérieur d'un film, la carte géographique, qui réfère donc au monde réel, trouble l'espace imaginaire de la diégèse tout autant que celui dans lequel une subjectivation spectatorielle a lieu. Une carte géographique, dans un film, fait signe vers un rapport de parties au(x) « Tout(s) » qui serait au fond de l'illusion réaliste que le film cherche à faire valoir. L'hypothèse est que la carte indique ce que Christian Jacob nomme la « bilocation du spectateur ». L'analyse porte sur l'espace parcellaire, tel que le travaille Gilles Deleuze au début de l'image-mouvement et sur le cinéma de Jean-Luc Godard, notamment une séquence tirée de Pierrot le fou, que l'on met en parallèle avec ses avatars passés (la fin de L'Enfer est à lui [R. Walsh]) et futurs (une séquence de La Haine [M. Kassovitz]).</jats:p> |