Beteiligte: | |
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In: | Une histoire institutionnelle, 19, 2009, 2-3, S. 113-140 |
veröffentlicht: |
Consortium Erudit
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Medientyp: | Artikel, E-Artikel |
Umfang: | 113-140 |
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ISSN: |
1181-6945
1705-6500 |
DOI: | 10.7202/037550ar |
veröffentlicht in: | Une histoire institutionnelle |
Sprache: | Unbestimmt |
Schlagwörter: | |
Kollektion: | Consortium Erudit (CrossRef) |
<jats:p>Les préoccupations théoriques de Jean Epstein, après la Seconde Guerre mondiale, auraient pu en faire un compagnon de route idéal de la filmologie. Son itinéraire intellectuel croise d’ailleurs à cette époque en plusieurs endroits (édition, Idhec, production, etc.) celui de Gilbert Cohen-Séat. Mais cette proximité de pensée n’a jamais trouvé à se développer réellement, peut-être parce qu’Epstein a intégré un mouvement qui a pu apparaître comme concurrent de la filmologie : le cinéisme. L’article qui suit se propose de retracer l’histoire de ces rendez-vous manqués en même temps que celle de deux pensées presque parallèles, pour mieux comprendre leur occultation conjointe.</jats:p> |