Bibliographische Detailangaben
Beteiligte: Miyao, Daisuke
In: Canadian Journal of Film Studies, 18, 2009, 1, S. 6-23
veröffentlicht:
University of Toronto Press Inc. (UTPress)
Medientyp: Artikel, E-Artikel

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Umfang: 6-23
ISSN: 0847-5911
2561-424X
DOI: 10.3138/cjfs.18.1.6
veröffentlicht in: Canadian Journal of Film Studies
Sprache: Englisch
Schlagwörter:
Kollektion: University of Toronto Press Inc. (UTPress) (CrossRef)
Inhaltsangabe

<jats:p> Dans le douzième film de Kitano Takeshi, Takeshis’ (2005), le célèbre chanteur/acteur queer Miwa Akihiro qualifie de monstre la grande vedette de télévision et de cinéma Beat Takeshi, alter ego du cinéaste Kitano Takeshi. Comment doit-on interpréter cette référence au monstre, tant au niveau diégétique que non-diégétique ? Si Beat Takeshi ou Kitano Takeshi sont qualifiés de monstre dans ce film, de quel genre de monstre s’agit-il, et quelle en est la signification ? L’origine latine du terme « monstre », « monstrum », signifie « symptôme » ou « avertissement ». Quels symptômes ou avertissements pouvons-nous détecter dans Takeshis’ ? Procédant d’une analyse approfondie des détails visuels de Takeshis’, et plus particulièrement de la représentation du désordre schizophrène de Beat Takeshi/Kitano Takeshi, cet article propose une interprétation faisant de Takeshis’ un symptôme de l’identité multiple des contextes culturels et technologiques de l’ère numérique. </jats:p>